Anne Bourgeois adore se balader le nez en l'air dans les vieilles villes. Il y a toujours plein de détails curieux, pittoresques, charmants à observer.
En l'occurrence sur cette première photo, hi hi, ce n'est pas très distingué mais très acrobatique : ce monsieur montre ses fesses, la tête entre les jambes ! Vous pouvez admirer cette position bien inconvenante sur la corniche de l'église Saint-Pierre-le-Puellier.
Cette corniche est soutenue par des modillons sculptés de têtes de personnages, d'animaux, de monstres et... de rigolos sans gêne !
Autour de la cathédrale...
La cathédrale Sainte-Croix est abondamment photographiée côté ouest, de la rue Jeanne d'Arc, mais moi j'aime bien son côté Est, vue du jardin de l'Évêché. C'est la partie la plus ancienne, et malgré le stationnement quasi sauvage dans cette petite rue, c'est ce côté que je préfère.
Vues sympas, avec ce jouuuli coucher de soleil :
ou même carrément de nuit, où l'éclairage du monument, que je trouve sépulcral et pas très réussi, a ici servi la photo :
Un détail que j'ai remarqué il y a peu, sur la cathédrale, c'est cette frise qui court à quelques mètres de hauteur, sur l'avant des tours. On y remarque moult feuilles et grappes de vigne sculptées :
Et, à bien y regarder, chaque angle porte un visage sculpté :
Vérifiez, chaque pointe de cette frise porte un visage différent. Je ne sais plus où j'ai lu ça, mais il me semble me rappeler (ah, ce n'est pas très sérieux !) que ce sont les visages des financeurs d'une des reconstructions de la cathédrale (ils ne sont pas toujours véritablement mis en valeur, mais bon).
Un petit peu plus loin à l'arrière de la cathédrale, il y a une jolie façade restaurée
C'est le début de la rue Saint-Étienne, et cette petite porte rouge surmontée de son oeil-de-boeuf sont vraiment très mignons.
Il y a aussi souvent quelque chose que je remarque, ce sont les soupiraux (un soupirail, des soupiraux, vous savez, ces aérations de cave, situées en bas des façades et par lesquels ces andouilles de chat ne peuvent pas résister de passer). Ne me demandez pas pourquoi je remarque ça, sans doute parce qu'il y en a de jolis à Orléans.
Je ne peux pas m'empêcher de m'attendrir devant les plus anciens, avec ces formes en goutte si poétiques :
alors que ceux que nous aménageons maintenant sont bêtements fonctionnels :
N'hésitez pas nous envoyer vos photos de détails sympas, d'Orléans ou d'ailleurs. Donnez-nous quelques mots d'explications et nous les posterons !
Envoyez tout ça à info@editionsmangetasoupe.fr
À suivre...
En l'occurrence sur cette première photo, hi hi, ce n'est pas très distingué mais très acrobatique : ce monsieur montre ses fesses, la tête entre les jambes ! Vous pouvez admirer cette position bien inconvenante sur la corniche de l'église Saint-Pierre-le-Puellier.
Cette corniche est soutenue par des modillons sculptés de têtes de personnages, d'animaux, de monstres et... de rigolos sans gêne !
Autour de la cathédrale...
La cathédrale Sainte-Croix est abondamment photographiée côté ouest, de la rue Jeanne d'Arc, mais moi j'aime bien son côté Est, vue du jardin de l'Évêché. C'est la partie la plus ancienne, et malgré le stationnement quasi sauvage dans cette petite rue, c'est ce côté que je préfère.
Vues sympas, avec ce jouuuli coucher de soleil :
ou même carrément de nuit, où l'éclairage du monument, que je trouve sépulcral et pas très réussi, a ici servi la photo :
Un détail que j'ai remarqué il y a peu, sur la cathédrale, c'est cette frise qui court à quelques mètres de hauteur, sur l'avant des tours. On y remarque moult feuilles et grappes de vigne sculptées :
Et, à bien y regarder, chaque angle porte un visage sculpté :
Vérifiez, chaque pointe de cette frise porte un visage différent. Je ne sais plus où j'ai lu ça, mais il me semble me rappeler (ah, ce n'est pas très sérieux !) que ce sont les visages des financeurs d'une des reconstructions de la cathédrale (ils ne sont pas toujours véritablement mis en valeur, mais bon).
Un petit peu plus loin à l'arrière de la cathédrale, il y a une jolie façade restaurée
C'est le début de la rue Saint-Étienne, et cette petite porte rouge surmontée de son oeil-de-boeuf sont vraiment très mignons.
Il y a aussi souvent quelque chose que je remarque, ce sont les soupiraux (un soupirail, des soupiraux, vous savez, ces aérations de cave, situées en bas des façades et par lesquels ces andouilles de chat ne peuvent pas résister de passer). Ne me demandez pas pourquoi je remarque ça, sans doute parce qu'il y en a de jolis à Orléans.
Je ne peux pas m'empêcher de m'attendrir devant les plus anciens, avec ces formes en goutte si poétiques :
alors que ceux que nous aménageons maintenant sont bêtements fonctionnels :
N'hésitez pas nous envoyer vos photos de détails sympas, d'Orléans ou d'ailleurs. Donnez-nous quelques mots d'explications et nous les posterons !
Envoyez tout ça à info@editionsmangetasoupe.fr
À suivre...
Moi j'aime bien les photos d'Orléans, il faut en mettre plus, merci !